Pour comprendre cet enchantement que me procure le média, hmm

 je dois vous dire, secret de polichinelle

si le média est rapporté par l'homme, alors il a nécessairement une faille à quelque part.   

Prenons l'année 2007 en exemple juste un instant. Je vous dresse un portrait général: 

 

L’actualité de l’année 2007 a été composée d’environ 2 millions de nouvelles provenant des 

médias traditionnels du Québec, c’est-à-dire des quotidiens, des magazines, des hebdos, de la 

radio et de la télévision. 

Depuis deux ans, la guerre et les événements tragiques ont été les principaux contributeurs de 

nouvelles au Québec avec 15% de la pointe de tarte leur étant réservée. "Nous sommes constamment témoins d'évènements tragiques, de situations de conflit d'intérêt et d'interventions allant même jusqu'à porter atteinte à l'intégrité de la personne" de dire le rapport préparé par le comité des communications de l'Assemblée des évêques catholiques du Québec. 

En 2007, c’est plutôt le duo politique et accommodements raisonnables qui ont été les deux 

grands thèmes les plus exploités avec un poids combiné de 18%

 Vous savez, la religion peut être associée à une multitude de reportages, on pense aux présidentielles d'Obama, aux élections provinciales du Québec, aux accommodements raisonnables, au nouveau cours d'éthique et de culture religieuse ou à Ginette Reno, Céline Dion par exemple.  Toutes les raisons sont  bonnes pour parler du christiannisme. Pourtant,  en temps normal, 85% des nouvelles disparaissent  au bout de 24heures. 

Au bout de 24 heures, La nouvelle semble ne plus attirer personne? 

Détrompez-vous, le christiannisme affecte plusieurs personnes, qu'ils décident de l'avouer publiquement ou non. Même si par les temps qui courent, le christiannisme tente beaucoup de se refaire, il demeure que les personnes en demeurent   concernées. Selon un sondage CROP, 85% des québécois croient en Dieu. 77% en Jésus Christ depuis 2002, les résultats de ce sondage sont disponibles.  

Merci de me dire ce que vous en pensez. Comment les médias influencent l'opinion publique, mais pas la vérité!