Tuesday, April 6, 2010

égoïsme ou vérité pure et dure


Dans la vie, la persévérance, jusqu'où aller dans la persévérance ... 
Avez-vous déjà pensé que vous persévériez pour rien... Vous en voulez aux autres d'êtres aussi voraces alors que vous êtes le premier à attaquer tout le monde à leur moindre faits et gestes.  La vérité  est que votre volonté est bien différente que celle de vos voisins et voisines. L'erreur est donc dans l'égoïsme le plus complet, de se croire mieux que la vie, mieux que les autres, et surtout mieux que le Christ lui-même.

Je dois vous avouer le Québec des dernières années a laissé place à une nouvelle forme d'amertume et de scepticisme jamais vue ailleurs concernant le message du Christ,  concernant l'ecclésiastique en général. Oui, bien entendu, les québécois se disent croyants en Jésus et croyants en Dieu à 74% (http://www.presencemag.qc.ca/documents/Sondage_Mars_2010.pdf) , mais quand vient le temps de tourner l'autre joue....  Moi je vous le dis à vous sceptiques,  vous vous trompez encore sur ce qu'est la vérité.

Rappelez-vous que Montréal, née Ville-Marie en 1642,  avec à sa tête Paul Chomedey de Maisonneuve,   est partie de rien et s'est peu à peu construite sur des bases solides de la foi chrétienne.  Serait-ce vous le ou la prochaine fondatrice d'une ville, ou même premier ministre renommé?   Avant de juger quoi que ce soit, il faudrait bien commencer par en faire autant soi-même, n'est-ce pas?

Et puis, ne regardons pas uniquement la fondation d'une ville, mais bien  les 350 ans qui ont suivi la fondation, pendant lesquelles années  l'Église catholique a su jouer un rôle prédominant. Ainsi l'éducation, les soins hospitaliers, les organisations caritatives et même le développement artistique ont été très largement le fait de l'institution ecclésiale et des communautés religieuses.  

Le retrait opéré en douceur de champs d'action désormais assumés par l'État n'a pas empêché l'Église de demeurer partenaire de la collectivité québécoise.  Bien au contraire, 

Plus discrètement, elle s'attache encore aujourd'hui à combler certaines carences de société. Des communautés religieuses, femmes et hommes,  engagées en Église se portent au secours des personnes pauvres, malades ou vivant des situations difficiles nécessitant un soutien et de l'accompagnement.  (www.cccb.ca)  Vous connaissez la Maison du Père, Développement et paix, et Mission Bon accueil, la maison de l'amitié sur Duluth ... Voilà quelques exemples concrets d'organismes dirigés par la foi chrétienne pour illustrer cette réalité d'engagement de l'église.


Alors, si vous n'en faites pas autant, pourquoi critiquer cette Église, qui d'abord et avant tout, ne mérites que respect et gloire.   Pourquoi? 

Parce qu'elle fait honneur aux véritables réalités de la vie et  aux vérités qui nous entourent...   La pauvreté et la douleur, la difficulté de la vie elle-même. 

La vérité est que l'Église parle de Notre Sauveur Jésus-Christ et des miracles qu'il a accompli pour nous montrer la voie de la vérité, de la réalité.  Qui se résume bien en cette phrase: "Ne faites pas aux autres ce que vous ne voulez pas que l'on vous fasse à vous". Et alors cette misère très répandue ici-même à Montréal,  provient-elle de nulle part?